mercredi 30 janvier 2008

Fraternité et cumulards en Wallonie


"Ce qui est impossible pour les privilégiés du système des amis des amis c'est de vouloir en sortir".

Personne n'ignore plus que la Wallonie est sous domination socialiste depuis des décennies.
Mais cette domination socialiste (du parti socialiste), qui n'a pas apporté la prospérité à cette région sud de Belgique aux taux de chômage records et assistée par les milliards d'euros des fonds européens (période 2000-2013), n'a-t-elle rien apporté ?.

Les Wallons ont reçus du socialisme, particulièrement à Liège et Charleroi qui concentrent la majorité de la problématique wallonne ; ainsi que 30% de son économie, et... 70% de son chômage !!! le système des amis des amis à tous les étages qui culmine ses pratiques dans ce qu'ils nomment le Parti et la fraternité (des plus favorisés entre-eux).
Lire (PDF).

Alors que nombreux sont ceux, dans la population wallonne, qui vivent avec de faibles revenus ou des allocations sociales, les amis des amis et ceux qui organisent ce système ne connaîssent pas les fins de mois difficiles. Leurs préocupations (sociales ?) seraient plutôt de tout faire pour accroître encore et encore leur capital pourtant bien alimenté par des rémunérations qui n'ont rien de modestes... Que deviendrait le projet d'égalité si tout le monde recevait la même chose ?.

Ils trouvent dans le Parti et le système des amis des amis à tous les étages toute l'imagination pour l'accroissement de leurs intérêts personnels, qui n'a pas permis d'apporter la prospérité à la Wallonie, région à la population la plus pauvre de Belgique.

Les Wallons n'ont-ils que ce qu'ils méritent ?.

Les Wallons ont crûs qu'ils pourraient obtenir la prospérité du socialisme et se sont trompés (certains le pensent encore et voudraient ne rien changer, s'ils sont dans le cercle des amis des amis). Il est plus facile de se laisser bercer par les promesses que de vouloir voir la réalité.

La Wallonie (sud de Belgique) se trouve sous domination socialiste depuis des décennies. Il y règne le système des amis des amis à tous les étages, les baronnies locales, le clientélisme, les copinages, les clans, les affaires (inculpations,
incarcérations de mandataires publics socialistes pour abus de biens sociaux, escroqueries, faux et usages de faux,...). Tout cela fait régulièrement la une des médias.

Si le parti socialiste avait la capacité d'apporter la prospérité à la Wallonie, il l'aurait certainement fait depuis longtemps. En ne supposant pas que "le malheur des uns fait le bonheur des autres". C'est-à-dire que le socialisme - le parti socialiste - tire sa force du malheur wallon et qu'il ne s'empresse pas de le faire disparaître, tant les amis des amis à tous les étages du Parti, toujours biens placés, et leurs amis y trouvent profit... Soutenus parfois par ceux qui reçoivent les miettes et s'en accomodent fort bien.

Les Wallons ont-ils apportés quelque chose au socialisme ?.

Les Wallons, et même les plus modestes d'entre-eux, ont enrichis (et enrichissent encore) les amis des amis à tous les étages et le Parti. Au nom de la lutte anti-capitaliste ?.
Ils méritent certainement qu'on leur dise un peu merci.
On leur fera encore beaucoup de discours et des promesses répétées comme ils les aiment tant.


Lire plus (PDF).

Marre des parvenus au Parti ?. Le son et l'image ici.

dimanche 27 janvier 2008

Le socialisme a-t-il empoissonné la vie politique belge ?


Le socialisme a-t-il empoissonné la vie politique belge depuis la "Question royale" ?.

En Belgique, le pays semble tellement divisé qu'aborder certaines questions revient à mettre en cause l'existence de l'Etat. Et on préfère alors choisir l'hypocrisie ou le silence.

La "Question royale" a concerné le retour du roi Léopold III en Belgique après la seconde guerre mondiale. Le roi ayant souhaité revenir en Belgique en 1945 mais une loi ayant promulgué l'interdiction de régner l'en empêchait, la question se posa encore en 1950.

Une majorité de Flamands (catholiques) étaient favorables au retour du roi et une majorité de Wallons (socialistes, libéraux) contre. Avec les affiches annonçant : "Les Wallons diront toujours non".
Un résumé de ces événements peut-être consulté
ici.


La division de la Belgique n'est pas seulement linguistique.

Personne n'ignore la domination du parti socialiste sur la Wallonie, qui n'a pourtant pas trouvé la richesse économique avec le socialisme puisqu'il s'agit d'une région en retard de développement économique soutenue par les milliards d'euros des fonds européens (période 2000-2013).
Une domination socialiste qui conduit à victimiser les wallons (minorité linguistique, faiblesse économique,...) et empoissonner la vie politique belge par des conflits et querelles politiques. Ce qui a contribué à faire de la Belgique un bon exemple de particratie.

S'il existe encore aujourd'hui, au nord du pays, un grand parti chrétien (CD&V), il n'en existe plus au sud. L'ancien PSC étant devenu le CDH, un parti de centre gauche dont on pourrait dire qu'il fait l'appoint au parti socialiste.

Le système de scrutin électoral adopté en Belgique qui conduit à un émiettement des voix et à des palabres et marchandages (réunions discrètes et secrètes) entre partis pour former une majorité après les élections (si on y parvient) conduit aussi à la particratie et à l'instabilité.

Lien :
http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=222&ID_dossier=322


mercredi 23 janvier 2008

Pourquoi dire et écrire Wallonoskova en Wallonie ?

Pourquoi dire et écrire Wallonoskova ?

Le sud de Belgique (la Wallonie), sous domination socialiste depuis des décennies, connaît un grand retard de développement économique et des taux de chômage records (souvent + de 30% dans les grandes villes).
Cette région soutenue par les milliards d'euros des Fonds européens de développement (période 2000-2013) ne parvient pas à atteindre la moyenne européenne alors que l'Irlande (région du monde comparable à la Wallonie), en une dizaine d'années d'efforts et de changements économiques, est devenue le 2ème pays le plus riche d'Europe...

Pourquoi la Wallonie est-elle devenue la région pauvre de Belgique ?.


La Wallonie c'est aussi : le royaume du système des amis des amis à tous les étages, des copinages, des baronnies locales, du clientélisme, des scandales politiques, des clans, des démissions, inculpations et incarcérations de mandataires publics, socialistes le plus souvent, et de leurs amis.
Comment alors ne pas penser aux autres (anciens) systèmes socialistes plus à l'Est de l'Europe ?. Et dire, Wallonie ?... Wallonoskova !.

Une responsabilité collective ?. Un mode de vie en Wallonie ?,...

Si le parti socialiste (PS) "mène le jeu" en Wallonie et en retire le plus, c'est aussi un jeu très confortable et rémunérateur pour les autres formations politiques qui raisonnent en alliances politiques (les conserver ou les obtenirs, ne pas devenir infréquentable...) et profitent aussi du système particratique mis en place pour placer leurs amis.
Tout le monde, dans ce milieu, y trouve son compte et sa grande ou petite partie de pouvoir, un jour ou l'autre.

Une population docile et manipulable par manque de connaissance, de volonté (lorsqu'on a compris le système...) ou de lucidité ne peut que constater et aller, parfois, pour les plus motivés, marcher dans les rues pour quémander en allant faire le tour des sièges des partis politiques. Le tout entre les scandales politiques, les inculpations, les incarcérations pour escroquerie, faux et usage de faux, abus de biens sociaux, entre autres, des amis des amis du Parti socialiste (PS) ou de leurs supérieurs.

"Nous n'avons, nous population, aucun pouvoir en Belgique (et en Wallonie) que d'attendre les élections mais les partis politiques décident déjà avant qui sera choisi avec qui après pour former une majorité. Quel parti sera au pouvoir avec quel autre. Et après les élections, c'est la suite logique d'avant... ils décident encore (hors du contrôle du peuple) qui sera avec qui au pouvoir lors de marchandages dans des réunions dites discrètes ou secrètes. Nous devons bien faire le tour des partis politiques pour nous plaindre !?."

Puisqu'on ne vous consulte pas (même le simple référendum n'existe pas en Belgique), pourquoi tenir compte de votre avis ?.
Les élections ?. Ceux qui cherchent le grand changement seront déçus. Il faut attendre qu'on décide à votre place, lorsqu'on le décidera et comme on le décidera.

Il reste possible de changer ce système mais il faut le vouloir vraiment.
Placer le drapeau national à sa fenêtre ne suffit pas pour obtenir la démocratie.


Il y a donc beaucoup d'hypocrisie dans la société Belge qui se présente comme un modèle de démocratie. Ce qu'elle n'est pas.

La domination socialiste (d'un système socialiste) au sud du pays n'est pas favorable pour apporter et favoriser la transparence, l'initiative individuelle et la liberté. Sauf, si on considère que la garantie du chômage à vie et le système des amis des amis à tous les étages c'est la liberté et la démocratie.

S'exprimer librement en Wallonie ?.

C'est permis et conseillé, si vous ne risquez pas de perdre (ou de ne pas obtenir) votre emploi à la Ville, à la Province, à la Commune, à la Région Wallonne de Belgique, votre logement social, votre future nomination,... Démocratie ?.


A ceux qui ont peur du Parti (souvent le parti socialiste).
N'ayez pas peur !. Quelqu'un a dit, il y a quelques années en Pologne: "N'ayez pas peur". Et la Liberté est arrivée. Elle devrait bien arriver aussi en Wallonie, sud de Belgique.

Le référendum n'existe pas encore en Belgique (le parti socialiste Belge francophone et le parti CDH - Centre Démocrate Humaniste - n'y étant pas favorables et ayant votés contre à la Chambre des représentants), il existe maintenant en Pologne.


En particratie, se sont finalement les amis des amis à tous les étages, les fils et les filles de untel ou untel du parti untel... Tous biens placés par leur hérédité dans le parti, sur les listes électorales et ailleurs. Y compris chez ceux qui se disent "progressistes"... Qui veulent tout diriger.

S'exprimer sans lamentations à aller faire dans les permanences sociales de ceux qui vivent très confortablement sur la misère des autres ?. Malheureusement peut-être, pas encore le bon piston pour entrer à la Ville, à la Commune, à la Province, dans une Intercommunale, à la Région Wallonne de Belgique..., quelque part en Wallonie pour les amis des amis et leurs amis.

Il suffit de regarder les journaux télévisés, la chaîne belge francophone http://www.rtbf.be (en soirée à 19h30) et de lire les journaux écrits en Belgique pour constater cette réalité...

Exemple : "Vous soutenez la bourgmestre socialiste ?". "Ecoutez, je ne peut rien dire contre, mon fils travaille à la Ville". Journal télévisé RTL du 22 janvier 2008.
Difficile de ne pas comprendre.
On ne va pas (re)découvrir tous les jours le système des amis des amis à tous les étages pratiqué depuis des décennies en Wallonie.
Les agents de la commune, de la ville, de la province distribuent avant, pendant, après leurs heures de service la propagande du Parti... ?. Ca vous étonne ?.

Découvrir plus encore le système des amis des amis à tous les étages ?.

Lien : http://www.wallonoskova.com

Lien : http://www.rtlinfo.be/news/article/85695/--Enqu%C3%AAte+admnistrative+%C3%A0+Huy

Lire en PDF : http://www.wallonoskova.com/documents/systemedesamisdesamis.pdf

Fraternité et cumulards en Wallonie : lien.

mercredi 16 janvier 2008

Vivons-nous vraiment dans une démocratie ?

Vivons-nous vraiment dans une démocratie ?. (Belgique).

Dans une publication datée de janvier 2008 de la CNE (dépendant de la CSC, syndicat chrétien en Belgique), on peut lire en page 10 : "Vivons-nous vraiment dans une démocratie ?" et "...nous tenons à la démocratie. Pas seulement un semblant de démocratie, qui se limiterait au rituel des élections tous les 4 ans, mais à une démocratie vivante, forte, qui signifierait que les citoyens et citoyennes décident réellement, en connaissance de cause, des règles de leur vivre ensemble."

On ne peut que souscrire à cela et constater, en Belgique, que des élections ne sont pas la garantie absolue de l'existence d'une démocratie.
Bien évidemment, on ne demande pas de vivre sans élections mais de pouvoir élire une majorité qui va gouverner, comme cela semble évident lorsqu'on parle d'élection.

En Belgique, la formation d'une majorité reste de la décision ultime des partis politiques et donne lieu à des réunions dites discrètes ou secrètes et à des marchandages entre les partis (présidents des partis) politiques.
Peut-on alors vraiment parler du choix des électeurs alors que les partis politiques peuvent faire entrer dans cette majorité n'importe quel parti ?.
Démocratie ??.
Plutôt des élections qui deviennent des sondages d'opinion,... le choix de composer une majorité étant laissé ensuite aux seuls partis politiques.

Cela devient tellement évident en Belgique qu'on peut lire, en page 16 de la même publication : "...nous ne laisserons pas le gouvernement définitif, quel qu'il soit, mettre en péril les bases de nos solidarités."

Gouvernement définitif quel qu'il soit (?).

Alors que des élections législatives ont eu lieux en juin 2007 en Belgique, ce gouvernement définitif devrait être connu en janvier 2008...
Comme il n'en est rien, on constate une affirmation de la particratie en Belgique qui a mis en place un gouvernement intérimaire puisque les partis politiques se sont montrés incapables de trouver un accord pour former un gouvernement après plus de 6 mois de marchandages après les élections législatives de juin 2007.

Qui va décider en Belgique de ce gouvernement fédéral définitif ?. Quel qu'il soit. Les partis politiques ou une élection ?.

Quels que soient les souhaits des uns et des autres, de l'extrême gauche à l'extrême droite, on constate aussi, aujourd'hui, que les Belges, comme de nombreux autres peuples, attendent la démocratie.


Lien : http://www.wallonoskova.com/journal/world/