Blasphèmes...
Les événements tragiques récents en France (le massacre perpétré au journal Charlie Hebdo) montrent le drame de l'endoctrinement et du fanatisme.
Ce qui fait dire très justement à certains : "Quand on n'est pas démocrate, on n'a pas sa place dans une société démocratique".
La question se pose de la cohabitation sur un même territoire de groupes aux religions et valeurs différentes et de l'influence des conflits étrangers sur les comportements.
Les grandes divisions et conflits dans le monde ont pour origines la politique et la religion.
La société qui se veut démocratique a pris pour principe d'avoir le pouvoir de traiter tous les sujets librement.
Ce qui ne change rien au fanatisme et à l'endoctrinement politique ou religieux qui peuvent y trouver les moyens de s'exprimer et de se répandre.
Ce qui peut aussi conduire à des drames qui ne seraient que le prix à payer à la liberté d'expression et à la démocratie.
Dans un monde globalisé où tout peut être acheté et contesté y a-t-il un espoir de cohabitation pacifique plus que par le passé ?. Vraisemblablement non.
Selon que l'on soutient les uns ou les autres, on s'expose à la vindicte de ceux dont les intérêts sont remis en question.
Si l'on ne ménage ni la politique ni la religion (déclarer ne pas avoir de religion devient aussi une religion), on s'expose encore plus.
Pour ceux qui n'aiment pas le blasphème et voudraient obtenir un avantage, un passe-droit ou sont pris d'une sincère repentance...
Il reste la méthode ci-dessous (l'appel au(x) Parti(s), au système des amis des amis à tous les étages, aux clans, aux baronnies locales) très pratiquée aussi dans le sud Belgique (Wallonie).
Comment garantir l'avenir de nos amis et amis de nos amis ? La carrière de nos amis : villes, provinces, communes, intercommunales... |