Palais Royal, Bruxelles
La Belgique est un pays divisé linguistiquement et culturellement depuis ses origines.
Les « problèmes » communautaires entre Wallons (population francophone minoritaire du sud) et Flamands (population néerlandophone majoritaire du nord) occupent une place très importante dans la vie politique belge et font quasi quotidiennement l’actualité des médias.
Cette division a conduit progressivement ce pays au fédéralisme.
Dans toute l’histoire de Belgique, la population belge n’a jamais été consultée sur ce qui constitue son avenir et ce qui détermine sa vie quotidienne, bien que la Belgique se présente comme une démocratie.
Tout le pouvoir reste dans les mains des partis politiques.
En Belgique, cela signifie dans les mains de quelques personnes dont le pouvoir est énorme : les présidents des partis politiques.
Une réalité qui s’éloigne de l’idée même de démocratie pour la remplacer par la particratie.
Cet état dirigé par la particratie conduit à ne pas savoir, après les élections, quelle sera la majorité qui va gouverner la Belgique fédérale puisque les partis politiques vont le décider entre eux, hors du contrôle du peuple, lors de réunions dites discrètes ou secrètes…
Les résultats électoraux deviennent alors des sondages d’opinion et les Belges attendent ensuite quelques semaines à plusieurs mois avant qu’on les informe du choix final des partis politiques (qui sera dans la majorité et qui sera dans l'opposition en faisant entrer, selon la volonté des présidents de partis, dans une majorité des partis qui devraient se trouver dans l'opposition et inversement).
Il n’est pas vraiment étonnant de constater alors que le référendum n’a jamais été adopté en Belgique.
A quoi servirait-il puisque la population se contente d’attendre les décisions des partis politiques ?.
Parmi ces partis politiques en Belgique, les opposants les plus déterminés au référendum sont le Parti socialiste belge francophone (PS) et le Centre Démocrate humaniste (CDH, ex-parti social-chrétien) que l’on trouve très souvent en parti d’appoint pour former une majorité avec le parti socialiste.
Ce qui n’empêche pas certains de se définir comme parti de la liberté, de l’égalité et de la fraternité (PS), sauf lorsqu’il s’agit de l’appliquer au plus grand nombre en permettant le référendum…
Une population passive se contentera facilement d’un ersatz de démocratie.
Le système politique « des amis des amis à tous les étages », du népotisme, des clans, des baronnies locales et des cumulards mis en place en Belgique et particulièrement en Wallonie, dominée par le parti socialiste depuis des décennies, devraient la satisfaire pleinement.
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